Du sable, encore du sable ! [FB - Yuaaan]

» Suite de mon histoire ...

Il faisait chaud, j’en pouvais plus. Je n’avais presque plus d’eau et mes réserves de nourritures étaient épuisé. Du sable, il n’y avait que du sable. J’étais complètement perdu, et ma blessure n’arrangeant en rien mes problèmes. Je ne savais pas par où allez, mais je continué tout droit en espérant croiser quelqu’un, quelque chose… J’vais du fuir comme un lâche pour ma vie, en laissant mes frère se faire exterminer un par un. J’avais encore cette vision horrible de mon père démembré, de Kaito se sacrifiant pour me sauver la vie … Qu’avons-nous fait de mal pour mériter cela ? Hein ? Nous soignons des vies en ne demandant rien en échange, et c’est ainsi qu’on nous remercie ? En nous exterminant ? INJUSTE ! Complètement injuste ! Je ne compté plus les minutes qui passèrent, qui au furent et à mesure se transformaient en heures, pour enfin se terminer en jour. Il commencé à faire nuit, le soleil aller se coucher. Enfin ! Le temps allez s’adoucir, et je pourrais mieux supporter ce climat atroce. Je pris ma gourde qui était à ma taille du coté droit, l’ouvrit et la retourna de façon à se que le liquide coule dans ma bouge. Il n’en rester très peu, et les quelques coutes qui tombèrent furent les dernière. Je n’avais maintenant, en plus de la nourriture, épuisé tout mon eau. J’étais vraiment dans de salles draps !

Je repensais a mon père, quand Kaito était venu me chercher dans la bibliothèque provisoire pour me l’annoncer. Ce jour la, j’avais refusé d’aller sur le front, ce jour la, mon père est mort. Quel idiot j’avais été ! J’aurais du y aller ! J’aurai pu empêcher ça ! Mais ce qui était fait, ne pouvais être changé. J’avais fait une erreur, et je devais maintenant en assumer les conséquences. Peu de temps après, des ninjas ont débarqué dans notre camp, ils ont tout saccagé, tout brulé, tout tué. On était dans la tante ou mon père venait de finir ses jours, quand Kaito se mit devant moi pour se prendre le kunaï à ma place. Je n’avais rien eu le temps de voir, rien. Il me cria de m’enfuir, et par peur c’est ce que je fis sans hésiter. Encore une erreur ! Il serait peut être en vie si je l’avais aidé ! Et voila où j’étais maintenant, en plein milieu du désert à essayer e survivre. Ma vie n’as était qu’une suite d’échecs où ceux qui en payer les prix était mes proches, mes frères…

Au moment ou je pensais être perdu, ou je croyais que ma vie aller se terminer, je vis quelque chose au loin. Une forme plutôt floue. Une lueur d’espoir s’alluma au plus profond de mon être, j’allais peut être survivre ! Je me mis à courir aussi vite que mes jambes me le permettez, en me protégeant les yeux du sable transporté par le vent. Cela dura une dizaine de minute, j’avais repoussé mes limites en courant ainsi durant tout ce temps. Mais mes efforts fut récompensé, ce que j’observai me coupa le souffle. Un long couloir taillé dans la montagne. Je m’avançai prudemment, mes sens en alertes…


# Tenzô – Est-ce qu’il y a quelqu’un ?

Le village était en plein travaux, ce n’étais que très récemment que nous avions ouvert notre porte aux civils et à ceux qui cherchaient un foyer. Je ne savais pas encore bien comment gérer les conflits d’un tel village, en effet tout le monde c’était mis à l’œuvre et le village grandissait à vue d’œil. Souvent de petits problèmes m’étaient exposés, un manque de matériaux, des gamins un peu turbulents, un gâteau qui disparaît et je songeais de plus en plus à trouver un système pour m’occuper des problèmes internes aux villages en les confiant à des ninjas. Evidemment confié de tel tâche aux ninjas les plus confirmés serait gaspiller leur talent et donc je devais m’arranger pour les confier à de jeunes ninjas sans expérience. Mais ce système pouvait attendre pour le moment je devais m’occuper moi-même de vérifier l’état du village. Le crépuscule tombait dans une heure environ, ce qui me laissait un peu plus d’une heure avant que la nuit ne tombe j’aurais donc le temps de vérifier les alentours de l’entré du village et une partie de la place du Sable. Je pris mon manteau rouge et descendis de ma tour, en passant je croisais quelques ninjas, ils me saluaient et j’en faisais de même, ils semblaient de bonne humeur mais au fond je savais bien que certains passionnées de combat s’ennuyaient. Bientôt une réunion avec les dirigeants des autres nouveaux villages allait se tenir ici, à Suna et j’avais sollicité tout les ninjas pour s’occuper de la surveillance et de la protection des villageois.

J’arrivais au niveau de la place du Sable, de petit commerce avait pris forme autour de cette dernière et quelques enfants s’y amusaient, c’était un avant gout de la paix je suppose, et j’étais assez heureux de voir tout les habitants sourire de cette façon. Des menuisiers travaillaient pour consolider les toits, de nombreuses tempêtes de sable récente avaient fragilisé la structure de beaucoup de petits bâtiments. Des marchands itinérants vendaient leur produits exotiques, ils étaient d’ailleurs très apprécié des villageois cela permettaient d’avoir des bibelots d’autres région que l’on ne peut trouver dans le désert. Beaucoup étaient occupés à travailler à l’amélioration du village et ils faisaient un excellent travail, ils fournissaient de grands efforts et mettaient le cœur à l’ouvrage. Bien entendu nous ne serions pas la première puissance ninja du monde à ce rythme mais nous étions en bonne voie pour vivre comme nous le désirions et pas comme le désiraient les autres clans. La nuit commençais à tomber, les gens rentraient chez eux, des lumières illuminaient le village à certains endroit, on pouvait entendre certaines réflexion de l’intérieur des maisons depuis l’extérieur du fait du calme de la nuit. Je n’avais pas envie de rentrer tout de suite, quelques gardes étaient postés à l’entrée du village pour assurer une sécurité permanente, bien que je les savais surement endormi comme à leur habitude je pouvais toujours leur rendre visite et leur proposer de se reposer et d’être relayé. Ils arrivaient souvent qu’ils s’endorment mais comme il n’existait aucune menace désormais je ne pouvais pas leur en vouloir et puis l’un d’eux restait constamment éveillé.

Je m’engouffrai dans le canyon qui servait d’entrer au village de Suna et dont la roche était taillée de manière à former des points d’observation. Une tempête de sable s’était levé et la visibilité devenait mauvaise, je sortis mes lunettes de soleil et les glissa sur mon nez. Un moment je cru avoir des hallucinations, une voix se fit entendre dans le canyon, mais les hallucinations sonore étaient fréquente en cas de tempête. J’étais tout de même inquiet car si il s’agissait d’un des gardes qui avait été attaqué et non d’une hallucinations nous aurions des ennuis au village. J’accélérai le pas pour finalement entrevoir une silhouette avachi par terre, je m’avançais près d’elle et pus constater qu’il ne s’agissait pas d’un de mes Hommes ni d’un des civils du village porté à ma connaissance. Il était de taille et de corpulence proche des miennes et ses cheveux étaient d’une couleur mixte et plutôt difficile à déterminer en pleine nuit lors d’une tempête de sable. Je lui demandai son nom mais il était à bout de force cela se voyait clairement, je le soulevai en le mettant en appui sur mon épaule, une gourde s’échappa de sa ceinture et une goute s’échappa du goulot. J’avais deviné qu’il errait dans le désert depuis un petit moment et que ses rations manquaient, selon le temps de son excursion son état pourrait être plus ou moins grave. Je devais l’emmener dans ma tour, là bas des médecins s’occuperaient de lui convenablement et bien mieux que moi. Je courus pour le ramener sur place le plus vite possible mais il était tout de même assez lourd. Arrivé à la tour, j’ordonnai qu’on fasse venir de toute urgence des médecins dans la première chambre de l’étage et qu’on apporte une bonne quantité d’eau, de saké et de nourriture. La chambre en question était ouverte et une infirmière s’y trouvais, je déposais le mystérieux ninja sur l’un des deux lits et demanda à la demoiselle de lui administrer des premiers soins et de vérifier son état de santé. Quelques minutes plus tard des médecins et l’un des cuisiniers rentrèrent, le cuistot déballa quelques plats sur une petite table et les médecins se penchèrent sur le ninja, pour ma part ayant l’impression de ne pas être très utile je m’asseyais sur une chaise et attendis qu’il se réveille.

» Un cris qui me déchira le cœur...

J’étais allongé, il faisait noir, je ne savais ou j’étais … Puis tout à coup, j’ouvris les yeux. Je me levai et je marchai tout droit. Je ne contrôlai pas mon corps, je ne pouvais bouger pas à ma guide. Puis, des personnes apparurent devant moi, elles tombèrent une par une au fur et à mesure que j’avançais. Bientôt, des centaines de cadavre m’entouraient. Et ça ne cessait pas. Puis je reconnu des gens, des personnes de mon ancienne organisation, mes frères et sœurs, tous tombèrent aussi, tous mouraient à chaque pas que je faisais. Je voulais arrêter d’avancer, arrêter de voir, arrêter d’entendre. C’était atroce, les regards déçu qu’ils me jetaient, les cris de douleur qu’ils poussaient. Je continuais à avancer, je ne m’arrêtais pas. Puis, je vis mon père, comme les autres, il tomba à terre dans un cri qui me glaça le sang, dans un cri que jamais je n’oublierai. C’est d’ailleurs à ce moment la que je me réveillai en sursaut…

J’étais déboussolé, je ne savais pas ce qui c’était passé ni comment j’étais arrivé la. Tous ce que je me souvenais, c’était que j’étais dans le désert, que du sable, il n’y avait que du sable ! Puis la, je me retrouve dans un lit, avec une infermière a mon chevet et un homme un peu plus loin assis sur l’une des chaises de la pièce. Je tournai la tête vers une sorte d’hublot et ce que je vis me découragea. J’étais encore dans le désert. Néanmoins, j’étais plutôt bien installer, une délicieuse odeur me parcourra les narines qui venait de la table qui se trouvait non loin de l’homme au manteau rouge. Je retrouvai le sourire en un rien de temps, car sur cette table se trouvait de l’eau, du sake et de quoi manger. Tous ce qui me manquait ! Je n’avais pas mangé depuis deux jours, et ma gorge était tellement sèche que quand j’avalais ma salive, j’avais mal. L’homme me regarda, quand al ‘infermière elle quitta la pièce après avoir bravement regardé si tout aller bien. Il attendait surement quelque chose alors e décidai tout de même à parler, de me présenter. C’était la moindre des choses.

# Tenzô – Je m’appel Tenzô Fujiwara, où suis-je ? Et que m’ai t-il arriver ?

Cela faisait quelques minutes que le shinobi s’agitait et semblait faire un rêve peu agréable, les médecins m’affirmèrent que ses jours n’étais pas en danger et qu’il ne souffrait d’aucune séquelles cependant il était en manque de glucose et de vitamines il fallait qu’il mange, les médecins avaient prévu une perfusion mais il semblait se réveiller. Je fis sortir tout le monde à l’exception de l’infirmière, qui resta quelques minutes de plus pour voir si tout allait bien. Elle fit une analyse assez rapide et conclus que le ninja était en bonne santé tout comme les médecins, je n’avais donc pas à avoir d’inquiétude. Le ninja s’était réveillé et semblait complètement perdu ce qui est normal, mais il semblait également admirer la table ou le repas et les boissons était disposés. C’était logique après avoir erré dans le désert pendant je ne sais combien de temps qu’il ait très faim et surtout soif, mais je ne savais toujours pas si il s’agissait d’un espion, d’un civil, ou d’autre chose. Il me regarda et me dit son nom, puis des questions lui vinrent à l’esprit, il demanda ou il était et ce qu’il lui était arrivé. Apparemment ce jeune…Tenzô semblait avoir oublié pourquoi il errait dans le désert mais c’est un des effets secondaires d’une exposition prolongé au soleil et à la chaleur. Je me demandais si c’étais un étranger perdu ou un espion très bon comédien, mais je ne pouvais pas le laisser dans cet état le pauvre allait s’évanouir d’une seconde à l’autre si il n’avalait rien.

Je me levai de ma chaise et m’approchais de la petite table de mets, je saisis un verre ainsi que ma bouteille de saké accroché à ma ceinture, et je remplis le verre à moitié. C’était un saké assez fort et qui étais capable de réveiller un mort, très efficace pour remotiver quelqu’un. Je posai le verre sur le plateau et rempli un second verre avec de l’eau, pour qu’il commence doucement. La petite table de mets comportait des petites roulettes très pratique, je la saisis avec ma main droite et la tira près du lit du jeune Tenzô. Je lui approchai le verre d’eau et lui lança une pomme dans les mains. Il ne traina pas pour se jeter sur les mets qui composaient la table. Je m’avançais vers la fenêtre de la chambre et admirais le paysage avant de finalement répondre aux questions que se posait mon invité.

« Tu est dans le village de Suna, un endroit calme ou la paix règne pour le moment. Le climat extérieur est assez similaire à celui du désert mais on y vit tout de même bien mieux. En ce qui te concerne tu t’es évanoui à l’entrée du village, je passais par là et je t’ai trouvé, je t’ai donc emmené dans ma tour pour que l’on te soigne mais apparemment tu n’a rien juste une grande fin et une soif que tu devrais te dépêcher d’étancher. J’aimerais bien savoir maintenant pourquoi tu errais dans le désert, ce n’est pas un endroit pour faire de la randonnée. »

Je me retournais et regarda le jeune homme dans les yeux, il ne semblait pas amnésique mais on ne sait jamais il à peut-être eu un choc qui lui a fait perdre la mémoire. Je m’approchais du lit et regarda sa fiche médical, en effet il ne semblait pas souffrir d’une quelconque blessure ni d’être malade ou autre, seulement affamé. Je me retournais vers ma chaise, la saisis et la plaça en face du lit de jeune gars, en attendant qu’il me réponde entre deux bouchées de pain.

« Tu peux m’appeler Yuan, j’appartiens au clan Kazan et je suis le Kazekage de Suna. »

Après mettre réveillé, et avoir repris mes esprits, puis m’être identifié, l’homme qui était présente dans la pièce pris un vert qui se trouvait sur la table sur la quel j’avais fantasmé durant quelques secondes à cause de se qui était posé dessus. De la nourriture, il y avait de la nourriture. Je n’avais pas mangé depuis des lustres, et ce qui se trouvait sur la table avait l’air plus qu’appétissant. Mais le pire, était ma gorge. Elle était sèche comme le désert dans le quel je me trouvais ! D’ailleurs, mon hôte avait du s’en apercevoir, car la première chose qu’il fit fut de me servir un verre de saké avec un autre, composé d’eau. Pourquoi donc ? Deux verre de saké aurait été mieux ! M’enfin, je n’allais pas faire le difficile. Je commençai donc par celui qui m’intéressait le moins : l’eau. Je le bus assez vite, et cela me procura un énorme plaisir. Ma gorge apprécia énormément. Je ne pris pas le temps d’attendre, le verre de saké finis de la même façon. Mais le gout était d’autant plus meilleurs malgré le picotement a la gorge, c’était un délice. Je notai néanmoins que ce saké était meilleur que ceux que j’avais auparavant goutés, plus fort aussi. Mais ce n’était pas pour me déplaire. Après m’être dessécher la gorge, même si ce n’était pas encore tout a fait ça, l’homme apporta le plateau de nourriture. C’était le magicien doz ou quoi ? Il devina chacune de mes pensées ! Je l’appréciais déjà !

Je commençai donc à manger ce qu’il m’avait proposé, puis il se mit à parler. Surement pour répondre à mes questions. « Tu es dans le village de Suna, un endroit calme ou la paix règne pour le moment. Le climat extérieur est assez similaire à celui du désert mais on y vit tout de même bien mieux. En ce qui te concerne tu t’es évanoui à l’entrée du village, je passais par là et je t’ai trouvé, je t’ai donc emmené dans ma tour pour que l’on te soigne mais apparemment tu n’a rien juste une grande fin et une soif que tu devrais te dépêcher d’étancher. J’aimerais bien savoir maintenant pourquoi tu errais dans le désert, ce n’est pas un endroit pour faire de la randonnée. » J’essayai de me souvenir, et peu à peu de réussis à m’en rappelais. La mort de mon père, l’attaque de notre camp, ma fuite … Tout était aussi clair que de l’eau de roche à présent, j’étais saint et sauf. D’après ce que l’homme me disait, il s’appelait Yuan Kazan, et c’était le kazekage de Suna. « Je me souviens … C’est une longue, et triste histoire que je ne manquerais pas de te raconter. J’allais oublier, qu’elle impolitesse de ma part, je m’en excuse. Je te remercie de ton hospitalité, et surtout, de m’avoir sauvé la vie. Tu aurais très bien pu m’achever, ou me laisser la… Des gens comme toi ce font rare ces temps ci ! J’ai une dette envers toi maintenant. Mais avant, qu’est ce Suna ? Je ne comprends pas, et d’après le peu que j’ai vu par ce hublots, ça ressemble fortement à un village. Depuis quand existe-t-il ? Je n’en connaissais pas l’existence … »

Le jeune Tenzô semblait recouvrer la mémoire au fur et à mesure que son estomac se remplissait, les souvenirs pour lui devaient être un puzzle en ce moment, il n’était pas très bavard mais c’était compréhensible ses occupations actuelle était plus importante et même vitale. Je le regardais manger et essayais de déchiffrer chacun de ses gestes, en temps de guerre les espions qui faisaient semblant d’être mourant se faisaient nombreux et efficaces. Mais rien ne semblait suspect chez ce jeune garçon, en revanche je pouvais remarquer qu’il était plutôt habile de ses mains pour quelqu’un en manque de sucre et de vitamines. Cela signifiait qu’il était soit un ouvrier spécialisé dans les bâtiments soit un ninja, mais je n’ai pas connaissance de ninjas dans la région avoisinante au désert. Il était probablement d’un autre village mais il ne portait aucun bandeau frontale avec lui, signe distinctif de chaque village bien qu’il était possible qu’il l’ait égaré en chemin. Il s’arrêta de manger quelques instants et me remercia, il était très poli c’était déjà un bon point pour lui. En revanche la suite me plaisais beaucoup moins, il me posa des questions sur le village et sur le début de sa création, mais après une réflexion de quelques minutes et une fixation sur le jeune ninja je me rendis à l’évidence il était trop direct pour être un espion. Cette grande guerre ma vraiment rendu à la limite de la paranoïa, il me fallait un peu de repos je pense et puis après tout raconter une partie de mon histoire à ce jeune allait me reposer un peu.

« Tu ne me dois rien du tout, tu est le bienvenue ici, mais je te conseille de te reposer quelques jour, marché dans le désert sans vivres et trop longtemps peut avoir de lourdes conséquences. Pour ce qui est de Suna, tu as bien deviné il s’agit de ce village. Si tu à quelques minutes devant toi je peux t’en raconter l’Histoire. »

Je me levai de ma chaise et la reposa dans l’angle de la pièce ou elle se trouvait à mon arrivé, je saisis la bouteille de saké à ma ceinture et en bu une gorgée, pour me rincer un peu la gorge. Cela fait, je la refixai solidement à ma ceinture et m’avance vers la grande fenêtre qui donnait sur le village. Je scrutais l’horizon et regarda chaque bâtiments en vu de la tour, de l’endroit ou je me trouvais. Chaque demeure et chaque famille avait une histoire et chacun ici avait mis tout son cœur à l’ouvrage pour bâtir un abri sur dans ce désert aride. J’esquissai un léger rictus et commença mon récit.

« Je suis du clan Kazan comme je te l’ai déjà dit plus tôt, ma famille ainsi que nos proches et évidemment moi-même avons toujours connu la chaleur du désert, chaque jour nous nous bâtions pour trouver des rations et de quoi vivre sans se dessécher. Nous avions plusieurs petits campements dans lesquelles nous trouvions refuge, mais nous désirions tous un havre de paix et de tranquillité. Nos campements furent détruits les uns après les autres à cause de la guerre ou des tempêtes de sable. Lorsque nous avions du repos du à l’absence des tempêtes de sable, les autres clans nous attaquaient et massacraient nos camps pour nous laisser errer dans le désert. Nous aurions pu quitter le pays du vent bien sur, mais les autres clans étaient souvent présents près des frontières pour nous forcer à rester chez nous et comme leurs nombres étaient plus importants que le notre nous n’avions aucune chance. Un jour une sentinelle envoyé dans le désert à la recherche d’une oasis tomba sur un grand canyon et lorsque il atteignit l’autre bout du canyon il trouva une falaise creusé et dont les parois conservaient la fraicheur de la pluie. Il revient au camp avec l’annonce de cette nouvelle, l’idée d’y établir un grand campement nous apparut évidente. Mais voilà le lendemain nous avons connu notre plus grande défaite et dès lors la moitié de ceux de mon clan décidèrent de partir vers d’autres petits pays isolé loin de la guerre. J’ai du trouver un moyen pour réaliser notre rêve de bâtir un campement en paix, et surtout ne nécessitant pas une garde tout autour de celui-ci, avec cette crevasse nous n’avions qu’a surveiller l’entré du canyon pour être en paix. Après une dernière bataille contre un des clans ennemi nous avons pu conclure une paix fragile qui existe encore aujourd’hui mais avec des bases plus solides, cette paix nous à permis de récolter des ressources dans les autres pays, pas énormément mais suffisamment pour bâtir quelques maisons solides. Par la suite nous avons agrandi beaucoup de petites demeure notamment la tour dans laquelle nous nous trouvons, puis le village s’est étendu jusqu'à atteindre les parois de la falaise qui nous entoure, mais aujourd’hui encore il reste beaucoup de travaille à faire dans le village. Maintenant tu sais ou tu te trouve, et tu sais que tu ne risque pas grand-chose ici à moins d’être un ennemi. Maintenant j’aimerais beaucoup entendre ton histoire et pourquoi tu errais dans le désert. »